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Cahiers francophones de soins palliatifs est une revue scientifique interdisciplinaire qui publie des articles scientifiques, des textes professionnels et des témoignages ou entrevues liés à la thématique des soins palliatifs et de fin de vie (SPFV). En ce sens, la revue, dirigée par l'Institut de soins palliatifs et de fin de vie Michel-Sarrazin - Université Laval,  est ouverte à l’ensemble des thèmes à propos des SPFV, et ce, dans tous les domaines, considérant l’approche interdisciplinaire comme une nécessité. Elle encourage également les étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs à publier leurs travaux.

Le malheur survient la plupart du temps à l’improviste, emportant sans discernement nos rêves les plus beaux. Il nous confronte rapidement à l'insuffisance de nos énergies les plus grandes. Comment vivre dans une situation mortifère? Comment transformer en puissance de vie ce qui est force de mort? Nous prenons alors conscience que les véritables ancres de la vie sont en nombre limité et que certaines valeurs sont plus aptes que d'autres à nous sauver. Et parmi ces valeurs, il y a le spirituel.
Voici une trousse spirituelle de premiers soins composée de trois attitudes à la fois humaines et spirituelles : CROIRE, ESPÉRER, AIMER, et d’une pratique qui leur est parente : PRIER.
Ces ressources sont souvent les seules à pouvoir nous donner le «surplus d'âme» nécessaire face aux difficultés de la vie. Mais, bien plus qu’un protocole d’urgence, elles forment aussi une thérapie puissante qui nous ouvre souvent la voie de la guérison.

Jean-Paul Simard détient un diplôme universitaire de 3e cycle en anthropologie spirituelle. Il s’intéresse particulièrement à la personne dans son questionnement intérieur et aux rapports entre la spiritualité, la santé et la guérison. Il est l’auteur de nombreux livres publiés notamment chez Médiaspaul.

Fort d’une quarantaine d’années de pratique en travail social dans le domaine des soins palliatifs, Réjean Carrier propose, avec le livre Parole, et si on prenait le temps d’écouter?,  une réflexion sur le vécu intérieur des personnes atteintes d’une maladie grave. Un ouvrage qui permet de se recueillir et de se questionner face au cheminement qu’imposent la maladie et la perspective d’un départ annoncé.

Qui de nous, au cours de son histoire, n'a jamais frappé un mur ? Échec, deuil, maladie ou fragilité intime, il s'imposait, immuable, en travers de notre route. A nous de nous ajuster. Ce scénario se répète chaque fois que nous sommes confrontés à des limites importantes marquant pour nous, non pas la fin du monde, mais la fin d'un monde.

Ce livre propose une série de réflexions autour de paroles prononcées par des femmes placées devant l'ultime limite, celle de leur mort prochaine. Plus que jamais, elles ont dû composer avec l'inéluctable. En refusant de s'y laisser réduire, en s'y adaptant et en y découvrant peu à peu l'occasion d'une authenticité et d'une profondeur nouvelles, elles ont fait l'expérience d'un surcroît de vie. Les mots de ces soeurs en humanité forment un testament qui peut nous aider à surmonter nos propres impasses.

Pendant féminin de l'essai A l'école de la fragilité, qui recueillait les témoignages d'hommes en fin de vie, ce livre dégage la sagesse propre des femmes devant les grands enjeux de l'existence. Il ne se lit pas nécessairement de façon continue, mais selon l’inspiration du moment et les besoins créés par la vie.

Gilles Nadeau est prêtre et accompagnateur spirituel à la Maison Michel-Sarrazin. Ce livre est né de son expérience d’animation de groupes de prise de parole composés de femmes en phase palliative de cancer. Son précédent livre A l'école de la fragilité (Médiaspaul 2019) a été chaleureusement accueilli.

Cet ouvrage s'adresse à tous ceux et celles qui vivent le deuil d'un être significatif, de même qu'aux accompagnants et aux intervenants de la santé. Ce guide, qui se veut d'abord et avant tout un ami réconfortant, vous amènera petit à petit de l'autre côté des larmes, vers la paix du coeur et de l'esprit, dans le souvenir de celui ou celle dont l'absence reste si présente...

Tôt ou tard, nous aurons à faire face au départ d’une personne chère. Ce livre nous enseigne à tendre la main aux mourants.

Ma soeur, ma lumière raconte l'expérience d'une femme qui, du jour au lendemain, alors qu'elle savourait de plus en plus la complicité qui s'était installée entre elle et sa soeur, se voit confrontée à la disparition imminente de cette dernière, atteinte d'un cancer virulent. Nous partageons ici l'intimité d'un accompagnement remarquable où les proches deviennent des anges gardiens, afin que se vivent en douceur les derniers instants de l'être cher. Voici un témoignage émouvant, rempli d'espoir, révélateur de ce que l'amour peut accomplir.

Dans l'accompagnement d'une personne en fin de vie, il y a un questionnement métaphysique. Toutes ces questions nous traversent, nous transforment et nous modèlent : Pour quoi la mort ? Pourquoi cette mort ? Existe t-il quelque chose après la mort ?

L'homme contemporain, disons l'homme postmoderne, peut-il vivre comme si la mort n'existait pas ? Car enfin, la science finira bien par avoir raison d'elle, non ?

Sinon, l'homme contemporain peut il s'y préparer ? Se préparer à quoi ? Sur la base de quoi ? Comment ?

Ce livre traite des soins palliatifs et de la mort.

Ce livre traite deLa vie n'est qu'une succession ininterrompue d'attachements et de séparations, qui permettent d'entrer dans de nouveaux attachements, différents des premiers. Pour être plus diponible à une écoute authentique de ce qui est vécu entre accompagnant et accompagné, il est bon de connaître les "points de passage". Dans cette optique, ce livre, qui propose une réflexion éthique sur les aspects de la mort au XXe siècle, peut être un soutien et un outil pour ceux qui sont confrontés à la mort de l'autre ou à leur propre mort.¦Contient un résumé succinct de la théorie de l'attachement de Georges Kohlrieser.s soins palliatifs et de la mort.

Le bénévolat en soins palliatifs prend une multitude de formes et revêt plusieurs sens, selon chacun des individus qui s'y engagent, les milieux d'intervention ou les contextes sociaux dans lesquels il s'actualise.Mais cette diversité se rassemble sous un dénominateur commun : « l'accompagnement ». Accompagner, c'est accepter librement de donner du temps à l'autre dans un univers où le temps est compté ; c'est respecter le rythme de l'autre, le soutenir dans ses propres choix, être présent et l'écouter ; c'est maintenir ou créer du lien tant qu'il y a de la vie. Être bénévole en soins palliatifs, c'est se solidariser avec les personnes malades, leur famille et les professionnels de la santé et des services sociaux, afin de répondre à l'ensemble des besoins ressentis en fin de vie. Chacun des textes de cet ouvrage illustre à sa façon comment se déploie la solidarité à travers le bénévolat en soins palliatifs.

Une véritable leçon de vie donnée par l'auteure, psychologue depuis près de dix ans dans une unité de soins palliatifs, où sont accompagnés ceux qui sont arrivés au bout de leur vie.

Lorsque tout traitement curatif a été interrompu pour l’être aimé et qu’il n’y a plus aucun espoir, que pouvons-nous faire ? Comment le soutenir dignement dans cette ultime étape ? L’accompagnement au soir de la vie s’adresse à toutes les personnes confrontées à cette douloureuse réalité. Que vous soyez parent, intime ou professionnel, vous trouverez les réponses aux interrogations que soulève une approche sensible et humaine de la mort. Les principes énoncés par Andrée Gauvin et Roger Régnier s’appliquent aussi à d’autres formes d’aide, hospitalière ou non, car cet ouvrage est le livre de l’accompagnement de tous les jours de toute la vie.